Bienvenue à Ucayali (Pucallpa)!
Curiosités
Attractions principales dans la ville
Modern construction with abundant greenery. Highlights include a 25-metre high obelisk, a central ornamental fountain, a further three fountains at each end, a row of flags, as well as sculptures made from granite, sand and cement that represent the customs of the mestizo settlers and the region’s indigenous peoples. Visitors can enjoy the monument created in honour of Colonel Pedro Portillo Silva, promoter of progress in the Peruvian Amazon. The Municipal Palace is located on the corner, with its transparent polycarbonate dome and terrace viewpoint boasting a stunning panoramic view.
Ouvert en décembre 2006, l’église est aussi connue comme la Cathédrale de la « Vierge Immaculée », sainte patronne de la ville de Pucallpa. Dans un style Ojival – néo-Gothique, elle a été construite en utilisant un bois local et une porcelaine espagnole. Son clocher de 14 mètres de haut présente 3 cloches apportées d’Italie, avec un toît couvert de 1375 tuiles cuites pour avoir la couleur du cuivre et de l’aluminium, donnant au toît une apparence similaire à l’écorce du « aguaje » (un fruit tropical). Parmi les attraits, à la base centrale se trouvent 8 arches de fer, des gravures et des fenêtres de verre teint faites par les artisans de la coopérative de Don Basco Chacas (Áncash). L’entrée principale est sculptée dans le bois et dans un fort relief qui expose des scènes qui représentent les enseignements de Jésus, la Vierge Marie et ses disciples. Une croix de 6 mètres de haut, pesant une tonne et présentant une image complète du Christ, peut être vue sur la haute autel. La cathédrale est décorée de sculpture de bois représentant les 15 mystères de certains moments dans les vies de Jésus et de la Vierge Marie.
La première place de la ville de Pucallpa, construite entre 1950 et 1951. Connue comme la Plaza del Reloj Público (la place de l’horloge). Les attraits inclus le monument du héro de la marine péruvienne Miguel Grau Seminario et la grande horloge qui est soutenue par une tour haute de 25 mètres possédant des lignes géométriques représentant le groupe ethnique de Yine (Piro). La tour est décorée avec des verres teintés dépeingnant les caractères mythiques de la région: sirènes, dauphins de rivière, navire fantôme, le diable chullachaqui et la runamula, entre autres. Le site présente trois piscines et un point de vue à partir duquel vous pouvez observer la majestueuse rivière Ucayali.
Créé pour protéger et préserver les différentes espèces de la faune et la flore amazonienne, incluant les singes, les lézards, les jaguars, les cerfs, les pécaris, l’agouti d’Amérique Centrale, les loutres, les hérons, les toucans, les perroquets et d’autres espèces en voie de disparition. Les visiteurs peuvent voir du bois, des arbres fruitiers médicinaux et tropicaux. La région présente deux lagunes où les visiteurs peuvent faire des balades en bateau pour observer les poissons amazoniens et les plantes aquatiques. Parmi les attraits, il est possible de visiter l’île des singes située dans le centre. À l’arrière se trouve le musée régional, qui abrite des espèces typiques de la faune amazonienne et une grande collection de fossiles découverts dans les rivières Ucayli, Pachitea, Aguaytia et Urubamba. Une des pièces les plus étonnantes est la mâchoire d’un Legarto Rex ou Megatherium datant de 10 millions d’années. Diverses expositions culturelles sont présentées dans une autre salle, y compris des pièces de céramique Shipibo de différentes périodes, ainsi que des peintures et des sculptures d’artistes régionaux.
Bénéficiant d’eaux chaudes et calmes, c’est un ancien méandre de la rivière Ucayali, créé par un changement de son cours. Durant la saison des pluies, le lac rejoind la rivière Ucayali via un système de canaux, produisant une abondance de poissons et permettant un renouvellement de l’eau sur une base régulière. Le lac offre une opportunité pour la pêche, le ski nautique, la nage et le bateau, ainsi que pour l’observation des oiseaux et des dauphins d’eau douce. Au port principal, situé à Puerto Callao, les bateaux peuvent être loués pour visiter les villages du groupe ethnique de Shipibo. Les attraits principaux inclus les communautés natives de San Francisco, de Santa Clara et le hameau de 11 de Agosto, où les paniers, les sac à main, les chapeux, les paniers à pain et une large variété d’articles utiles sont faits avec des fibres naturelles tissées, incluant la « caña brava » (canne sauvage) et la peau de plantain. La cusine régionale peut être dégustée tout autour du lac, où vous pourrez trouver des lodges, hôtels et restaurants. La plage Restinga Beach est populaire durant l’été.
Attractions principales dans les environs
Le lagon, créée par des mouvements tectoniques et connu pour son abondance de poissons, est parfait pour la pêche, ainsi que pour les balade en bateau et le camping. Plusieurs communautés du groupe ethnique Shipibo-Conibo vivent sur la rive du lac, comme Santa Teresita et San Salvador. Le canal Cashibo-Cocha joint le lagon Yarinacocha.
Son nom vient de la Imiría, une plante flottante avec une fleur de couleur jaune-rouge qui, avec les plantes lotus et putuputo, couvre une large partie de la rive durant la saison des pluie. Créée par des processus tectoniques, le lac présente des plantes aquatiques qui forment des îles flottantes qui se déplacent avec le vent, créan de magnifiques paysages changeants. Le lac est idéal pour la pêche, le canot et les balade en bateau. Il y a plusieurs entrées dans la terre nommées « courant sous-marin ». Plusieurs mestizo et communautés natives du groupe ethnique Shipibo-Conibo habitent en bordure du lac, les plus intéressants étant les villages Junín Pablo et Caimito.
Ces lagunes ont été contruit en utilisant des techniques traditionnelles de barrage entre les années 1970 et 1975, lorsque les colonies immigrantes de fermiers japonais et leurs bétails se sont installés dans cette région. Les espèces aquatiques sont abondantes dans la région, ainsi que des champs étendus de poivre, d’agrumes et des élevages de bovins.
Deux ponts suspendus à 800 mètres de haut au-dessus de la rivière Aguaytía. L’un des deux fût construit entre 1939 et 1942. À partir d’une plateforme moderne, les visiteurs peuvent observer des navires traditionnels arriver et partir des différentes communautés des groupes ethniques Kakataibo et Shipibo-Conibo. Les paysages sont typique de la bordure de la jungle, avec des pentes abruptes et des vallées profondes. Au loin, il est possible d’apercevoir la Cordillera Azul ou la chaîne de montagnes bleues.
Boquerón atteind la Cordillera Azul ou la chaîne de montagnes bleues (nommée ainsi à cause de la couleur apparente des montagnes lorsque vues de loin). Un passage unique érodé par la rivière Yuracyacu, un tributaire de la rivière Aguaytía, qui possède un mur rocheux de plus de 100 mètres de haut. Le long de ce corridor de 2 milles, il y a 70 cascades d’eau froide et crystalline, les plus puissantes étant la Velo de la Novia (Voile de la mariée) et la Ducha del Diablo (douche du diable). Les visiteurs peuvent voir des peintures rupestres, tandis que les forêts tropicales abritent une bio-diversité inimaginable.
Le Boquerón a été découvert en 1757, par le Père Francisco Alonso de Abad.
Construction moderne et site de la statue du leader indigène Juan Santos Atahualpa, qui croit-on, a passé ses derniers jours dans la région. Conçue avec des sculptures en ciment qui représentent plusieurs groupes ethniques d’Atalaya et entourée de magnifiques plantes ornementales. Tout près, vous trouverez la Cathédrale San Antonio de Padua, des institutions publiques, des banques, des resturants et des centres commerciaux. Vous pourrez aussi apercevoir au loin la place de la cité d’Atalaya, ainsi que la chapelle des moines Franciscan. Des marchés de fermiers sont tenus tous les dimanches.
Une rivière sous-terraine de 5 kilomètres de long. Les sources d’eau sortant de trous au travers d’immenses rochers, sur une circonférence de 30 mètres, avec des largeurs entre 5 et 8 mètres et des profondeurs variant entre 0,5 et 1,5 mètres. L’eau est fraîche et crystalline, avec une température variant entre 12°C et 16°C. Il y a éfalement des roches ignées couvertes de végétation luxuriante. Les eaux sont utilisées pour produire de l’énergie, via une mini centrale hydro-électrique à Canuja et sont également la source d’eau potable d’Atalaya. Les visiteurs peuvent aussi voir des rochers monolithiques, avec des gravures ressemblant à des coquillages de rivière, des étoiles, des soleils et des lacs.
Il s’agit d’un rocher monolithique de 6 tonnes, de 5 mètres de long, 2 mètres de large et 2 mètres de haut, associé aux cultures pré-Inca et Inca. Dans les environs de la région, des haches de pierre ont été trouvées et qui doivent dater du temps pré-Inca. Le site est entouré de végétation luxuriante et de forêt dense. Le monolithe est couvert de gravures. La tête ressemble à un taureau découvrant ses dents, ses yeux et son nez. Le corps présente des symboles qui n’ont pas encore été déchiffrés. En 1995, l’archéologue Federico Kauffman, accompagné de chercheurs péruviens et étrangers, ont confirmé l’origine pré-Inca des symboles. Les signes gravés sont des points d’orientation pointant directement vers Cusco. Un x, trois figures représentant le soleil, une main gauche humaine et une crevasse sur différentes parties du corps possèdent des similarités avec les restants de la civilisation Chavín.
Connu par les locaux sous le nom de “Cascades de la Quinceañera (de la fille de 15 ans)”, la cascade possède 2 sauts: une au-dessus d’une grotte et une longeant les côtés d’une caverne de 20 mètres de haut. Elle a une form étagée est est entourée de végétation abondante.
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